– en proposant un accompagnement pour toutes et tous, et encore plus pour les plus démuni.e.s
– en proposant un accompagnement gratuit lors de l’achat, l’utilisation et/ou l’entretien
– en développant une cellule régionale d’architecte pro-déo qui amènent les habitant.e.s les plus fragilisé.e.s vers une rénovation durable
– en prenant également en compte les travaux impactants la sécurité et la qualité de vie des habitant.e.s, ainsi que la salubrité et la qualité du logement
– en accompagnant les habitant.e.s dans cette transition avant tout sociale, en les sensibilisant sur leur impact sur l’environnement et leurs leviers d’action
– en développant des outils simplifiés pour faciliter la gestion de son logement
– en incitant de faire les grosses rénovations énergétiques lors des moments-clé de la vie du logement
– en proposant des solutions administratives adaptées au grand nombre d’infractions urbanistiques qui freinent la rénovation
– en incluant dès aujourd’hui les futur.e.s rénovateurs.trices de 2030/2050 à travers des campagnes de communication au sein des écoles et universités
– en appliquant une dérogation à l’obligation de travaux pour les propriétaires qui ne disposent pas des moyens nécessaires
– en développant une cellule spécialisée dans les montages financiers pour trouver des solutions avec les propriétaires pour pouvoir rénover et maintenir leur patrimoine immobilier
– en permettant aux plus démuni.e.s de se reconstruire en les incluant davantage dans ce processus de rénovation
– en valorisant les démarches et les usages visant la diminution de l’empreinte environnementale
– en favorisant l‘habitation compact pour encourager l’utilisation raisonnable des mètres carrés par habitants
– en incluant les dimensions de robustesse et de réparabilité dans les choix constructifs
– en visant la sobriété des ressources, de la conception à l’utilisation , puis à la rénovation
– en concevant et entretenant les logements selon les principes de la valorisation du « déjà là »
– en réévaluant l’objectif de performances énergétiques des bâtiments vers des objectifs de faire mieux avec moins
– en mettant en place un écosystème viable et enviable autour de l’habitat et de ses habitant.e.s
– par la réalisation d’une analyse transversale qui prend en compte : la consommation, l’état du bâtiment, le budget, la santé, l’adaptabilité, le patrimoine et la demande initiale de l’habitant.e
– en proposant une vision globale « no regret » des travaux, sur du court, moyen et long termes
– en mettant les interventions « low tech » au centre des solutions de rénovation et de construction, énergétiquement plus efficaces à grande échelle
– en proposant des solutions raisonnables d’amélioration des performances des matériaux plutôt que leur remplacement
– en développant un programme de rénovation énergétique collectif accompagné à l’échelle régionale plutôt que locale
– en facilitant la recherche d’entreprise de qualité par des nouveaux systèmes de marchés privés ou de partenariats accompagnés
– en revalorisant les métiers de la construction auprès des publics jeunes
– en harmonisant les normes d’habitabilité au sein des différentes administrations régionales (code du logement, RRU, PEB,..)
– en anticipant dès aujourd’hui l’engorgement administratif et l’augmentation des délais de délivrance de permis d’urbanisme liés à l’objectif d’augmentation du taux de rénovation
Projet subventionné par la Région de Bruxelles-Capitale et par le FEDER